Constance Latourte
Parcours
Mon parcours est marqué depuis toujours par de nombreux voyages qui se reflètent dans mes films, mes écrits et mes choix professionnels. Passionnée de langues et de rencontres, j'ai toujours cherché à partir à l'étranger autour d'un projet afin de m'imprégner au mieux des lieux que j'ai visités.
Pendant mes études de sociologie à l'Université Paris 5, j'ai réalisé des stages professionnels à Séville, puis à Madrid. En 2006, j'ai eu la chance de séjourner pendant 6 mois à Santiago du Chili pour faire des recherches sur la dictature de Pinochet.
A peine rentrée, je veux déjà repartir. C'est Barcelone qui m'accueille dans un Master de réalisation de films documentaires. En 2008, après une courte immersion au Burkina Faso pour réaliser un film pour une ONG, je pars pour un bain de plusieurs mois au Mozambique où je réalise le documentaire Khanimambo Mozambique (2009, 54', Editions L'Harmattan Vidéo). S'ensuivent quelques années pendant lesquelles j'alterne entre des projets à Paris et à l'étranger (Inde, République Dominicaine, Espagne) à l'occasion desquels je collabore avec des compagnies de théâtre, des artisans, des associations, des musiciens, des sociétés de production étrangères (Turquie, Brésil, Colombie).
En 2013, ma vie professionnelle prend un tournant puisque je me tourne vers l'enseignement. Professeure d'espagnol dans le secondaire, je garde un lien avec le cinéma en participant en tant que rédactrice aux dispositifs "Lycéens et apprentis au cinéma" et "Collège au cinéma" (CNC - Cahiers du Cinéma). Toujours atirée par l'étranger, je pars à Mexico pendant une année scolaire (2016-2017) pour travailler à l'UNAM comme chargée de coopération éducative.
En parallèle de toutes ces activités, j'écris. Des nouvelles, des contes, des chroniques de voyage. Au début, j'écris pour moi, sans l'envie d'être lue par d'autres que mes amis ou ma famille. Jusqu'au jour où je me lance dans l'écriture d'un roman qui sera publié aux Editions Intervalles en 2019 sous le titre Avenida Vladimir Lénine. Et depuis, je continue d'écrire.